Petite proposition musicale histoire de vous mettre une petite chanson bien entêtante en mémoire : « La Madrague » de Brigitte Bardot… 😜
« Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés… » Non non non, ne me remerciez pas!
Bon, trêve de plaisanteries, aujourd’hui, je vous présente un petit article un peu particulier autour de mon symbole préféré, le coquillage.
(Besoin de me protéger dans une carapace, peut-être? 😳)
Où que j’aille, je m’efforce de me rapprocher de l’océan, irrésistiblement attirée par l’appel puissant des marées.
Et chaque fois que je suis à la plage, passé une demie heure de bronzette, c’est sur le rivage, à la frange des vagues, que l’on me trouve, à « cueillir des coquillages » – bien souvent de conserve avec les enfants (4 ans d’âge mental, j’assume!).
Du coup, j’en ai plein à la maison, puisque j’en ai rapporté de tous mes voyages aux 4 coins du monde : océan Pacifique (deux ans en Polynésie quand même!), mer de Tasmanie (Nouvelle-Zélande), océan Indien (Malaisie), mer de Chine, océan Atlantique, Méditerranée…
Et je m’en sers : d’accessoires de déco évidemment, mais aussi de récipients à gâteaux, moules à chocolat/caramel genre les coquilles à berlingot que l’on léchait avec application petits (Vous aussi? Rassurez-moi!), contenants pour des préparations cosmétique maison, vases genre soliflore, pots à pinceaux et brosses à dents…
Même mon PetitDoux a un sac à coquillages (ceux que je trouve le plus aisément en France, hein, parce qu’avec sa délicatesse d’enfant de 18 mois, il les casse souvent en les faisant tomber sur le carrelage!) juste pour lui : c’est tellement drôle de le voir les sortir du sac, les remettre, les ranger dans ses affaires, les faire tomber dans les interstices des radiateurs, s’émerveiller de leurs sons cristallins lorsqu’il les entrechoque…
Voilà, je vous montre un petit aperçu de tout ça!
Welcome home!
Un carillon que j’ai réalisé de mes blanches mains avec une « paua » néo zélandaise, de la ficelle de rôti et des aiguilles d’oursins crayon.
Ambiance, mais je ne connais pas leurs petits noms.
Un sept doigts. Il y en a un autre dans ma douche qui me sert de porte-savons, pierre d’alun et autres barres de massage.
Allô? (J’aime beaucoup cette conque!)
En direct de mon cabinet de praticienne en Dien Chan et conseillère en Fleurs de Bach (je vous en dirai très bientôt plus sur le sujet!).
Rangements de salle de bain : vive les burgos. 😇
Les grosses nacres me servent souvent de présentoir à dessert. So chic, isn’t it?
Coquilles de margaritae pinctiferae comme déco de cuisine et coupelles d’apéro!
Il y en a même dans et autour de mes plantes grasses chéries!
Un coquillage de l’Atlantique qui prend du galon en abritant des perles. 😜
Un bout de coquille polie en guise depresse-papiers.
Quand ils sont un peu ordinaires, je n’hésite pas à leur donner un petit air de fête avec une lichette de vernis transparent à paillettes dorées : encore un moyen de recycler des vernis à ongles dont je ne me sers que très rarement…
J’aime tellement ces doux coloris! 💛
Les fragments aussi peuvent avoir leur utilité et leur charme. 😇
Même nos ronds à serviette se sont mis au diapason… Chaque membre de la famille à son coquillage personnalisé.
Merci à mes brodeuses préférées!
Petites dernières pour la route… Sur une plage de Rurutu, une des îles Australes!
Un coquillage habité, que j’avais cru vide, et qui m’a fait courir!
Des ailes d’ange de bénitier. 👼🏼🐚
Le mot de la fin, je le laisse au grand Nerval…
« Suis-je Amour ou Phébus ?… Lusignan ou Biron ?
Mon front est rouge encor du baiser de la reine ;
J’ai rêvé dans la grotte où nage la sirène…
Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron
Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.»
El Desdichado, dans Les Chimères
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